Ukraine: Fakes news, sanctions et contre-sanctions: Le point

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En préambule une vidéo tournée hier soir dans les environs de Mariupol: Une unité de l’armée ukrainienne (plus probablement des paramilitaires, ceux que justement nous allons liquider) arrête un véhicule de civils fuyant la ville. Exécutions sommaires. Voyant ceci, le véhicule derrière (qui filme) force le passage sous les tirs.

La situation:

1- Hier Vladimir Poutine a ordonné la “mise au ralenti” de l’avancée russe en Ukraine car Zelenski avait annoncé vouloir négocier. Après discussions, Zelenski a déclaré aujourd’hui vouloir continuer le combat. La “mise au ralenti” a donc été annulée.

2- Certains s’étonnent de la “lenteur” de l’avancée russe. Elle s’explique par le fait que notre armée tente d’éviter au maximum les dommages aux civils. Ceci alors que les unités extrémistes (Azov par exemple) installent leurs armes lourdes dans les quartiers densément peuplé des villes. Aujourd’hui même dans une école maternelle à Lvov! Nous n’attaquons pas les civils, donc ne frappons pas ces objectifs, et donc les opérations sont plus longues.

Un déluge de “fausses nouvelles” sest abattu sur internet. La plus importante est celle qui concerne les défenseurs ukrainiens de l’Ile Aux Serpents en Mer Noire qui, selon la propagande ukrainienne, ont préféré mourir plutôt que de se rendre. La vérite est autre, les militaires se sont rendus, et ont été transférés en Crimée où ils ont signé un engagement de ne plus combattre. Ils retrouveront leurs Familles dans quelques jours.

Voici les militaires en question, ils n’étaient d’ailleurs pas 13 comme le dit la propagande ukrainienne, mais 82…

Il a été présenté également un “prisonnier de guerre russe” capturé par les ukrainiens. On le retrouve en photo quelques temps auparavant aux côtés d’un leader néonazi ukrainien…

Il a été dit qu’une colonne entière russe a été anéantie par les ukrainiens. Il s’agit en fait d’une colonne ukrainienne, on retrouve des fragments de plaque d’immatriculation ukrainienne.

Etc etc

On a appris hier que Boris Johnson a ordonné le blocage total des biens de Poutine et Lavrov en Anglettere. Excellente plaisanterie puisque bien sûr ils n’ont aucun bien à l’étranger!

Les banques anglaises (encore!) ont annoncé bloquer les avoirs de tous les citoyens et sociétés russes en Angleterre. Quand on sait que l’Angleterre s’est fait un plaisir d’accueillir les pires crapules de Russie, on ne peut que se réjouir que celles-ci aient leurs comptes bloqués! Concernant les sociétés russes, c’est plus sérieux et en riposte à l’instant même la Russie a annoncé qu’elle allait saisir les avoir des sociétés américaines et européennes en Russie.

Certaines banques russes ont été “sanctionnées”, mesures leur interdisant l’accès aux marchés extérieurs financiers. Suite à ceci, on a pu lire que “dans la panique, les russes font la queue aux distributeurs pour retirer leur argent et ont retiré 11 milliards de roubles à Moscou en quelques heures”. Entièrement faux bien sûr et j’ai vérifié moi-même qu’aucune file d’attente n’était présente aux guichets de Sberbank et VTB par exemple.

Il est probable ce soir que les banques russes (ou peut-être CERTAINES d’entre elles) seront déconnectées du système “SWIFT”, système utilisé dans le monde entier pour le contrôle des virements internationaux. Mais depuis des années les pays occidentaux nous en menacent et nous avons donc pris en avance les mesures nécessaires en créant un système similaire. La portée de cette “sanction” sera donc très limitée, malgré les déclarations triomphales que ne manqueront pas de faire nos ennemis.

Plusieurs pays européens ont interdit leur survol par les compagnies aériennes russes. En riposte ces compagnies russes ont annulé tous les vols à destination de l’Europe, et va se poser rapidement la question des européens “bloqués” en Russie.

Pour la petite histoire, les services spéciaux américains ont tenté avant-hier de convaincre Biden d’ordonner des cyber attaques massives contre la Russie pour bloquer nos chemins de fer, entre autres. Nos services cyber ont été informés … en piratant les américains, et ont riposté en pillant quelques bases de données américaines très “spéciales” (Services de police, etc) et en montrant, concrètement, qu’ils sont capables de couper l’électricité à, par exemple, New York. Résultat: Biden n’a pas donné suite aux conseils de ses services spéciaux… Et les bases pillées sont tout de même disponibles sur certains groupes télégram en accès libre!

Dans le monde virtuel, facebook a interdit la publicité des media russes et bloqué plusieurs compte russes. En riposte, depuis hier soir Facebook et Instagram sont partiellement bloqués en Russie et ce qui n’est pas bloqué est fortement ralenti.

Ceci n’est que quelques exemples qui ne doivent pas faire oublier le drame qui se joue actuellement. Il ne dépend que de Zelenski de l’arrêter, mais les Etats-Unis poussent pour la poursuite de l’opération. Les européens en caniches soumis suivent le mouvement, mais que peut-on attendre d’autre de leur part? Qu’ils sachent toutefois que leur attitude ne changera rien, et que leurs “sanctions” et notre riposte leur couteront plus cher qu’à nous. Une fois encore, il ne s’agit pas de guerre ni d’invasion mais, comme dirait votre président Sarkozy, d’un “coup de karcher”. Lui n’a pas osé allé liquider les voyous des cités, nous osons aller liquider les néonazis ukrainiens.

Et pour terminer, au sujet du terme “nazi” ou “néonazi”. Il est courant en France de traiter de nazi, j’en suis certain, quasiment tous les lecteurs de ce site (mis à part quelques bobos qui se reconnaitront..). Il faut bien savoir qu’en Ukraine de véritables “nazis” sont à l’oeuvre dans l’armée, dans les services spéciaux et jusqu’au gouvernement. Les manifestations avec drapeaux nazis y sont monnaie courante. Nous ne les “accusons” pas de “nazis”, ce sont eux-mêmes qui se disent fiers de l’être.

Espérons que Zelenski fera passer son peuple avant Biden et ordonnera au plus vite la reddition de ses troupes. Chaque heure qui passe multiplie le nombre de victimes… et donne l’occasion aux politiciens européens de se poser en donneurs de leçons! A se demander si finalement notre opération ne les arrange pas…

Boris Guennadevitch Karpov