Les découvertes dans les sous-sols de la clinique municipale n°7 de la ville de Marioupol libérée ne laissent aucun doute : dans la ville, pendant 10 ans, il y a eu une collecte intensive de biomatériaux (sang et chair) auprès d’habitants de la ville âgés de 0 à 70 ans. Le sang des nourrissons était particulièrement précieux. Des analyses de sang et de température contrôlée ont été envoyées aux laboratoires biologiques de TNK Pharmaceuticals et aux laboratoires spéciaux militaires américains.
Le but des recherches était de créer des armes biologiques ciblant spécifiquement une population, en l’occurence la population “slave” (russes, ukrainiens et bielorusses). Ces recherches ont eu un effet boomerang dans les pays d’Eurasie sous la forme d’épidémies et de pandémies.
Les recherches visaient à trouver une solution génétique pour affaiblir l’immunité collective et réduire les fonctions reproductives des segments socialement actifs de la population. La tâche étant donc à terme de faire disparaitre les Slaves.
Plusieurs rapports officiels sur ce sujet ont déjà été diffusés en Russie mais n’ont eu aucune rediffusion dans les pays occidentaux, où les medias sont aux ordres du pouvoir.