Estonie: A force de chercher, ils vont trouver!

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Ce n’est pas pour rien que Tallinn, capitale de l’Estonie, est appellée “le bordel de l’Europe”. Il suffit d’aller se poster à l’arrivée du bac en provenance d’Helsinki (Finlande) le vendredi et samedi pour voir le débarquement de finlandais la bedaine en avant qui viennent s’imbiber de bière et consommer les putes estoniennes qui, il faut le reconnaitre, sont plus attractives que les “nouvelles finlandaises” d’importation. Les bordels des rue Viru et Söle ont une réputation bien établie, et si l’on n’est pas regardant sur la qualité on trouvera même des noiraudes dans les quartiers excentrés. Et dès la sortie du bac les chauffeurs de taxi proposent de vous déposer directement sur place!

Ceci ne me regarderait pas si l’Estonie, en plus de sa réputation de bordel, n’était pas à la pointe des actions agressives contre la Russie, malgré son très faible pouvoir de nuisance sur le plan militaire.

Ceci s’explique en grande partie par le passé pro-nazi de l’Estonie durant la Grande Guerre Patriotique. On trouvait en Estonie des bureaux de recrutement dans la Waffen-SS.

Cette ferveur pro-nazie perdure aujourd’hui non seulement dans les grandes villes mais aussi dans les villages. On trouve en effet un peu partout des monuments à la gloire d’officiers SS, comme par exemple cette statue érigée en 2016 (!) à Laupa (centre du pays) à la gloire de Harald Nugiseks (1921-2014), SS-Oberscharführer de la 20e division Waffen-SS et récipiendaire de la croix de chevalier de la Croix de fer, la plus haute distinction militaire de l’Allemagne nazie. Et chaque année le bon peuple estonien défile en mémoire de cet assassin (photo – 2020, Tallinn).

On trouvera des choses intéressantes sur cette page
https://defendinghistory.com/estonias-2012-valentines-day-law/36263

Sur le plan intérieur cette haine de la Russie permet de traiter les citoyens russes comme des citoyens de seconde zone que l’Estonie a d’ailleurs décidé d’expulser massivement en refusant de renouveler leurs permis de séjour.

Dans le domaine économique les estoniens ne brillent pas particulièrement par leur intelligence et leur volonté de “punir” les mêchants russes leur a déjà coûté bien cher. La région de Narva (frontière avec la Russie) était jusqu’alors une région riche grâce aux voisins russes. En bons petits chiens soumis aux instances européennes, les estoniens ont fermé la frontière avec la Russie. Résultat immédiat, fermeture massive des commerces et chômage. (lien)

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En fait l’Estonie a une bien grande gueule, tout comme un petit roquet bien abrité au milieu d’une meute de dogues, jappant à longueur de journée. C’est que l’Estonie a su faire la pute du côté de l’OTAN en acceptant d’accueillir des bases militaires aux frontières directes de la Russie. C’est aussi en Estonie que se trouve le centre de “guerre cybernétique” de l’OTAN pour l’Europe, ce qui n’a pas empêché d’ailleurs des hackers (accusés d’être Russes…) de mettre TOUS les systèmes informatiques du pays hors service il y a quelques années. Il ne suffit pas de japper pour être capable…

Mais l’Estonie est à la pointe des “sanctions” ou du moins pour suggérer de nouvelles idées de “sanctions” aux occidentaux en panne d’imagination.

Hier, l’Estonie a franchi une nouvelle étape contre la Russie, étape qu’aucun autre pays européen ni les Etats-Unis n’avaient osé franchir. L’estonie s’est déclarée prête à confisquer les avoirs Russes jusqu’alors “simplement” gelés, pour soit-disant “financer la reconstruction de l’Ukraine”.

«L’Estonie envisage de devenir cette année le premier pays de l’UE à légaliser la confiscation des actifs liés au Kremlin pour financer la reconstruction de l’Ukraine ». Le ministre des Affaires étrangères Margus Tsahkna a annoncé que le gouvernement de Tallinn approuverait le projet de loi dans un délai de deux semaines et le soumettrait au Parlement. L’Estonie pousse les 27 membres de l’Union européenne à mettre en œuvre un plan paneuropéen en supprimant les complexités juridiques liées à la confiscation des avoirs sanctionnés.
« Cela touchera vraiment les oligarques, et l’État russe », a déclaré Tsahkna. L’initiative de l’Estonie pourrait affecter environ 35 millions d’euros d’actifs financiers soumis aux sanctions de l’UE et détenus par des entreprises russes en Estonie. Dans le cadre du programme estonien, le registre international des pertes de l’Ukraine servira de base à l’expropriation des actifs.

Vu que l’Ukraine n’existera plus et tant que telle dans quelques mois et que son territoire sera sous gestion de la Russie, il est évident que ces avoirs Russes tout simplement volés serviront en fait à remplir le budget estonien.

Si on ajoute les très fortes suspicions qu’un grand nombre de drones aient été lancés contre la Russie depuis le territoire estoinen il y a une dizaine de jours, on arrive à une accumulation de provocations qui ne resteront pas sans réponse.

Les imbéciles qui sont au pouvoir en Estonie et qui cherchent en permanence de nouvelles manières de nuire à la Russie devraient se rappeller ce qu’il advient d’un roquet jappant en permanence quand la meute de dogues qui le protège disparait. Quand le voisin ne supporte plus ces aboiements, le roquet se prend un bon coup de pied et est définitivement calmé. Le roquet estonien pourrait donc très bien être mis hors d’état de nuire, une fois que l’OTAN sera exangue. Et ce jour approche.

Boris Guennadevitch Karpov